S'en remettre contre je veux être le gars

Introduction

Aperçu de s'en remettre

Getting Over It est un jeu au design unique où les joueurs contrôlent un personnage dans un chaudron qui tente de grimper sur une montagne d'objets en utilisant uniquement un long marteau. Le concept est simple, et pourtant son exécution offre une expérience de jeu inégalée entremêlée de notions philosophiques, créant une atmosphère à la fois intrigante et frustrante.

Getting Over Il

Présentation de Je veux être le mec

Avant de s'en remettre, Je veux être le gars Le jeu, populairement connu sous le nom d'IWBTG, propose un régime tout aussi exténuant. Ici, les joueurs naviguent dans un monde 2D rempli de plates-formes trop dispersées, de pièges périlleux et d'hommages sournois aux jeux vidéo classiques. Malgré sa nature difficile, c'est un jeu qui continue d'être adoré par un groupe de joueurs du monde entier.

Une comparaison approfondie : Getting Over It vs. I Wanna Be The Guy

Comparaison du jeu

Au niveau de la surface, les deux jeux ont un gameplay totalement différent. Getting Over est un jeu d'escalade unique basé sur la physique et exécuté dans une perspective de défilement latéral 2D. Les commandes exigent de la précision et une compréhension de l'élan. Si vous voulez en savoir plus sur son gameplay, vous pouvez vous référer au Stratégie de dépassement. D'autre part, "I Wanna Be The Guy" s'inspire des plateformes traditionnelles pour présenter un terrain dangereux qui punit les actions imprudentes et récompense la mémorisation et la patience.

Comparaison des aspects graphiques et techniques

Getting Over It adopte un design plus réaliste et contemporain. Ses visuels artistiques non conventionnels simulent des objets et des structures rendus qui semblent quelque peu réalistes. En revanche, I Wanna Be The Guy fait référence à l'ère du jeu rétro avec ses graphismes pixélisés, ses effets rudimentaires et son esthétique familière.

Comparer le niveau de difficulté

Chaque jeu démontre une approche distincte de la difficulté. GOI s'appuie fortement sur son système physique imprévisible, qui peut transformer une petite erreur en un revers paralysant. D'autre part, IWBTG inverse les normes de plate-forme ; il garde les joueurs vigilants avec des objets apparemment innocents mais mortels et des pièges mortels imprévisibles. Les deux jeux demandent beaucoup de patience mais imposent des défis de manière assez disparate.

Rejouabilité

La rejouabilité des deux jeux découle du défi qu'ils posent. « Getting Over It », avec son caractère aléatoire régi par le contrôle du joueur et les lois de la physique, garantit que chaque montée est légèrement différente de la précédente. Avec IWBTG, l'infamie de sa difficulté pousse les joueurs à battre le jeu, apprenant méticuleusement de leurs erreurs passées, ce qui alimente sa rejouabilité.

Analyse des avis des joueurs pour les deux jeux

Getting Over It et IWBTG attirent les joueurs qui recherchent des expériences stimulantes et possèdent des niveaux de tolérance élevés. Dans leur très grande majorité, les joueurs mentionnent leur immense satisfaction après avoir conquis un segment difficile dans leurs critiques, preuve de l'équilibre délicat que les deux jeux maintiennent entre frustration et récompense. Et si vous voulez en savoir plus sur le premier jeu, vous pouvez vous référer au Guide de dépassement.

Mot de la fin

GOI et IWBTG sont d'excellents exemples de jeux stimulants qui utilisent l'adversité comme principal attrait, qu'il s'agisse des ascensions défiant la physique ou de la plate-forme 2D brutale, de la persévérance face aux échecs répétés et de la réalisation éventuelle qui procure souvent un sentiment d'accomplissement. inégalé dans les jeux vidéo. Ce ne sont peut-être pas les jeux de tous les joueurs, mais pour ceux qui veulent tester leur courage, ils valent chaque bataille métaphorique et littérale.

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